Dielloù Gwened
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 La bataille de Vannes

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Isaïyl




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MessageSujet: La bataille de Vannes   La bataille de Vannes EmptyMer 16 Mai - 15:27

Sauvegarde du 16/05/2007 23:26:00
Lien original : http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=228801
Nombre de messages sauvegardés : 59
Nombre de messages dans le topic au total : 59


De Tolosa a écrit:
Merci de lire le petit règlement avant de participer.
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=5959314#5959314
De Tolosa a écrit:
Depuis maintenant 5 jours, les vagues de l'Ost Française, ou plutot du détachement qui devait prendre Vannes, se brisaient sur les remparts de la ville telle les vagues sur les rochers des falaises.

Il y a 2 semaines les Français avaient attaqué par surprise et reussis a pénétré dans la ville et avaient même pris la mairie mais trop confiants, ils avaient sous estimé la fierté Vannetaise, et n'avait aps gardé la ville plus de 2 jours. Mais l'impact psychologique fut sans précedent et leur action avait mis le doigt sur la faiblesse de la strétegie militaire Bretonne.
Les soldats absents, c'est le peuple qui avait répondu présent et avait repris sa ville.

De Tolosa et une partie de l'ost vannetaise qu'il avait levée plusieurs mois auparavant pôur l'accompagner à Anger, étaient revenu pour defendre leur ville. Ainsi chaque nuit ils montaient sur les rempart avec les autres Vannetais et se battaient avec force et honneur. Depuis son arrivée la ville n'était plus tombé mais à chaque fois il s'en fallait de peu.

Il avait revu avec plaisir Dame Jonell qui avait mené la rébellion contre l'envahiseur et maintenant il travaillait avec elle à la protection de la ville. Biensur il aurait bien aimé que le Duc Elfyn et ses compagnons de la GGD soit là mais ils avaient surement mieux à faire ailleurs. A ce propos, fait surprenant, De Tolosa n'avait pas enlever son heaume en public depuis son arrivé, en effet la visière de celui-ci étant coincé suite à un mauvais coup durant la bataille de Craon qui avait vu la capture du Grand Duc, mais sa renommée au sein du village suffisait à le faire reconnaitre, inutile de se montrer.

Voila maintenant 1 heure que De Tolosa est sur les rempart face au camp français, il les guette, les surveille, attend de voir si ce soir ils vont bouger ou pas, si Vannes aura un moment de trève ... ou pas.
Lelfenoir a écrit:
Lelfenoir, lui aussi, comme beaucoup d'autre, avait attendu de savoir,....et ils avaient bougé!

Toute le nuit, lui et son groupe armée, quatre autre Vannetais, avaient lutté pour le mintien du Village aux mains des Bretons.

Mais ils n'étaient pas seul, loin de là. Lelf avait apperçu plusieurs fois Jonnel, s'occupant le mieux possible de l'organisation du village et de la défense. De Tolosa était apparament également sur les remparts, et lui même était au côté de Laurenzo, Tono59 et de Gollain.

De toute part, des petits groupes de défenseurs patrouillaient sur les remparts ou bien ameutaient les Villageois afin qu'ils les rejoignent. Ils reconnu de nombreux visages, mais était trop concentré pour leur accorder de l'attention.

Toute la nuit, les François avaient essayé tant bien que mal de prendre d'assaut les remparts et de rentrer dans la ville, ils étaient nombreux mais les Vannetais courageux,....une fois ils avaient fait une erreur, une fois, pas deux,...une fois, les François ont pris la mairie, une fois, pas deux.
Orathor a écrit:
Depuis plusieurs semaines, Torass et une poignée d'anciens miliciens, avaient quittés Vannes suite à l'élection de la dame Micha et c'était réfugié dans la forêt. Ils s'installèrent dans une grande caverne, à l'abri des regards.

Quelques jours plus tard, une armée de Français avaient attaqués le village et prit la Mairie, mais ce fut de courte durée. Les Vannetais se soulevèrent et bouttèrent ces étrangers hors des murailles. Malheureusement, les Français revinrent à la charge et ces troupes s'amassés près des murailles.


L'après-midi touchait à sa fin, quand Torass réunit ses hommes autour du feu de camp.

Soldats ! Vannes est assiégé et il est de notre devoir de leurs venirs en aide !

Des murmures de désaprobations parcoururent les hommes.

Bien que nous ayons été en désaccord ! D'ailleurs le seigneur De Tolosa est sur place et ce serait un honneur de se battre à ses côtés. Je n'en peu plus de ces journées à chasser, boire, manger, dormir sans autre activitée. Autant aller se battre !

Les soldats sourires. Ils s'ennuyaient ferme dans cette caverne sombre et froide.

Très bien ! Cette nuit nous sortirons de la caverne et prendrons ce chemin, de façon à contourner les troupes Françaises. Je ne connais pas leur nombre, mais autant les éviter.

Il prit un baton et dessina un grand cercle représentant le village. Tout autour, une grande forêt avec un petit cercle au milieu, représentant les hommes de Torass. Il coupa la forêt dessinant leur chemin et pointa le bâton sur un trait.

C'est un petit ébouli près des murailles. Ils ne nous ouvrirons pas la nuit, les portes étants fermés, donc nous passerons la nuit près de cette escarpement afin d'être à l'abri de l'ennemi et quand l'aube se lèvera nous regagnerons le village.

Les soldats acquieçèrent.

Mais s'ils ne nous ouvrent pas, que ferons nous ?

Torass se gratta la barbe et observa le soleil couchant.

Ils nous ouvrirons ...

Alors que le soleil mourrait dans la forêt, les soldats s'activèrent à recouvrire les sabots des chevaux et les armes, avec des draps, pour qu'ils passent dans la plus grande discretion. La nuit se coucha. La colonne s'ebroua et s'avança parmit les arbres au pas. Les cris des François qui s'abreuvait sans nul doute, leurs parvinres, mais bientôt ce ne fut plus qu'un écho. Ils traversèrent la dernière barrière d'arbres et se retrouvèrent à l'air libre, après plusieurs jours passés dans cette forêt. Les hommes respirèrent et Torass désigna le petit escarpement.

La nuit fut longue, les hommes guettant l'arrivée d'un détachement Françoi mais bientôt le soleil naquit. L'ombre des murailles couvrait les soldats, alors qu'ils remontaient les remparts vers l'une des portes. Torass fit signe de la main à ses hommes de s'arrêter et mit ses mains en porte-voie.


Oh Vannetais ! Mon nom est Torass et je viens grossir les rangs des défenseurs, avec mes quelques hommes ! J'attend votre réponse.
De Tolosa a écrit:
Les Vannetais avaient veillés toute la nuit mais il n'y avait eu que des attaques sporadiques, rien de bien menaçant. De Tolosa regarda alors la camp français à la lueur du jour et là quelle ne faut pas sa surprise de voir que plus de la moitié des tentes étaient partie dans la nuit, la français avaient fait preuve de ruse. Attaquant pour donner le change, maintenant des feux allumés en grand nombre pour faire croire à la multitude, mais à la fin rien, du vent.

C'est alors que De Tolosa reconnu dans le ciel l'oiseau massager de sa bien aimée, il tendit le bras et Harfang vint se poser sur le mur à coté de lui. Décidement cet oiseau était aussi caracteriel que sa maitresse!!!

DT defit le message accroché à sa patte et le lut:


Citation :
Mon Doux sire,

J'espère que ce message vous trouvera en bonne santé, cette guerre nous tiens éloigné depuis trop longtemps. Je vous ai envoyé Harfang pour vous tenir au courant, l'Ost Française a attaqué Rohan, la ville est tombée. Pour l'amour de Doué, restez sur vos gardes et protégé notre belle cité, il se pourrait qu'elle soit la prochaine cible.

Votre Amie,
Roxadana d'Illur, Baronne de Chateaubriand
La bataille de Vannes Roxadanarougejx7

DT compris pourquoi la moitié des Français étaient partis et que c'était loin d'être fini.
Gwezheneg a écrit:
Gwezheneg avait ce matin rejoint les rangs des défenseurs de Vannes, il y avait ici bon nombres de Vannetais et Vannetaises de tout rang. De simples paysans comme lui jusqu'aux plus importantes personnes de la cité.
Il prit place sur les remparts, observant au loin les tentes françoises mais regardant avec attention les visages de ses compatriotes. La nouvelle de l'évasion du Grand Duc Gomoz avait regonflé le moral des troupes sans aucun doute mais en ce moment même un murmure parcourait les rangs des Vannetais. Certains semblaient dire que l'armée françoise avait déplacée bon nombre de ses soldats, mais vers où?, d'autres voix semblaient dire que la ville de Rohan avait été prise par les françois, laissant planer une inquiétude dans les rangs des défenseurs. Qu'en est-il de tout ces murmures se demandait Gwezheneg, rien d'officiel n'avait été dit ici à Vannes. Son visage était marqué de la fierté d'être ici présent parmi ses fréres et soeurs pour défendre son pays mais aussi par une certaine inquiétude dû au manque d'informations concrêtes sur la situation actuelle de la Bretagne dans le conflit. Son regard s'arrêta soudain sur une personne, il observa longuement semblant la connaitre mais comment, il ne le savait point. Son voisin, lui glissa à l'oreille le nom de cet homme: messire Ysgarran De Tolosa, Baron d'Arz. Un sourire apparu sur le visage de Gwezheneg, cet homme il ne le connaissait pas personnellement mais il en avait souvent entendu parlé sur de nombreuses missives envoyées par son cousin. Le voilà enfin se dit-il, cet homme sur les remparts observant fiérement le camp françois semblait dégager une aura positive et une sérénité sans faille. Se parlant à lui même, Gwezheneg était fier d'être aux cotés d'un homme de cette stature, son cousin n'ayant eu que pour lui d'innombrables compliments.
Un patriote, un amoureux de Vannes et de la Bretagne sans aucuns doutes, peut-être un jour Gwezheneg aurait-il le plaisir et l'honneur de pouvoir converser avec le Baron, qui sait... Il finit par sortir de ses pensées et reprit son rôle avec sérieux, surveiller sans relâche le camp françois sans par moment jeter quelques furtifs regards vers le Baron.
Une longue attente commença alors une fois de plus pour les défenseurs de Vannes......
Laurenzo. a écrit:
Cela faisait déjà 1 semaines que Laurenzo était revenu à Vannes et il avait laissé la pression de l'attente Rennaise pour les escarmouches Vannetaises, et il en était ravi ! Seulement cela faisait des jours qu'il ne pouvait pas sortir dans la forêt de peur de tomber sur un groupe d'excréments de Lévan qui dit on sont nocifs !

Laurenzo s'était bien battu sous le commandement avisé de son chef l'elfenoir.

La visite de la duchesse l'avait remit d'aplomb et les tonneaux de chouchen étaient bien arrivés, seulement l'attete le rongeait et l'envie de parcourir les routes pour tuer quelques français de plus lui emprisonnait l'esprit...
Lelfenoir a écrit:
Lelf était de mauvaise humeur, comme très souvent pour le moment, la guerre s'éternisait, bien que de nombreux François avaient levé le camp, ce qui avait légerement remonté son humeur.

Il avait encore passé la nuit à guetter le camp, dont il ne distinguait presque rien, si ce n'est la silouhette des tentes et quelques lumières provenant des feus. Il pouvait aussi remarquer du mouvement dans les troupes Françoise, mais pas assez pour signifer un lourd assaut iminent.

Lui et son groupe de soldat patrouillaient sur les remparts. Ils repoussèrent facilement les quelques ennemis qui s'était montré, mais les assauts étaient beaucoup moins sérieux, suite logique aux départ de plus de la moitié de la troupe. Mais lui et ses hommes s'étaient bien battu, la visite de la duchesse dans leur quartier et les litres de chouchen déversé y était pour quelque chose.

A l'aube, Lelfenoir était assez fatigué, mais la nuit avait été plutôt calme, en comparaisont aux précédentes, mais les François étaient toujours là! Il se demanda si cette guerre aurait une fin, puis se reprit, bien sur que oui, les Bretons finiront par bouter ces chiens en dehors de nos terres!!
Gwezheneg a écrit:
Gwezheneg commençait a present a sentir la fatigue, mais son moral était lui toujours bien gonflé. Si ça premiére nuit c'était passé sans aucuns problémes juste rythmée par l'enchainement des tours de garde, la seconde fût un peu plus agitée, cette fois si trêve dominicale terminée, les françois avaient attaqués encore une fois les défenses de Vannes. Mais les vaillants défenseurs dont Gwezheneg faisait partis avait repoussé l'ennemi françois sans trop de difficulté.
Prenant un peu de repos aprés l'escarmouche, Gwezheneg se perdit dans ses pensées. Sans être un grand stratége militaire, il pensait bien que cette attaque sur Vannes, c'était juste pour la "forme", pour montrer que eux les françois étaient encore present. Les murmures de la veille, c'étaient transformés en une rumeur persistante et réelle, la ville de Rohan était bel et bien au mains des françois. Gwezheneg pria un instant ses voeux allant vers ses fréres et soeurs de Rohan, espérant de tout coeur qu'ils reprennent le plus vite possible leur ville des mains de l'envahisseurs.
Son cours moment de repos était terminé, il fallait maintenant repartir pour une journée de surveillance sur les remparts.....
Kante a écrit:
Les cheveux et la bure de francisaine au vent, un homme visiblement hors de lui, parcourait le chemin de ronde des murailles.

Secouant les hommes de gardes, réveillant les endormis, il posait à tous la même question :


As-tu vu le baron de Tolosa ? Il faut absolument que je le vois

Et quand l'homme, sortant du sommeil, avait du mal à reprendre ses esprits, il étati secoué sans trop de ménagement par un fort :

Mais par Aristote, réveillez-vous, ne voyez vous pas qu'ils sont revenus. Là, les françois sous nos murailles. Alarme !
Gwezheneg a écrit:
Gwezheneg avait encore passé une longue nuit a enchainer les tours de garde. Cette nuit avait été calme, mais il y avait eu de l'agitation au niveau du campement des françois, de nouvelles troupes étaient arrivées pour gonfler les rangs de l'envahisseurs. Cette fois-ci je crois que nous allons avoir droit a une vraie grande bataille... ce dit-il a lui-même. Sortant tout a coup de ses pensées, il entendit une homme un peu affolé qui cherché partout le Baron d'Arz, se tournant vers la voix, il reconnu le pére Kante. Il se leva et s'approcha de lui pour lui parler.

Mon pére!, du calme, vous cherchez le Baron d'Arz, je l'ai vu il y a deux jours ici sur les remparts mais depuis hélas non.. Mais je suis confiant, jai assez entendu parler du Baron De Tolosa pour être sur que quand la bataille s'engagera, il sera a nos cotés, arme au poings pour defendre vaillament Vannes et la Bretagne. Mon pére, une derniére chose, je crains hélas que nous n'auront pas le temps pour mon baptême avant la bataille... sachez juste une chose, qu'ils viennent les françois!, je ferais honneur a la devise de la Bretagne, Kentoc'h Mervel Eget Bezañ Saotret!!, je prefére mourrir debout que vivre toujours a genou!, jamais que dieu en soi temoin ici même devant vous pére Kante, je ne vivrais sous le joug françois!.

Puis se precipitant vers les remparts, levant son épée vers le ciel, il regarda fiérement le camp françois et hurla a ses ennemis, Venez!!.
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Isaïyl




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MessageSujet: Re: La bataille de Vannes   La bataille de Vannes EmptyMer 16 Mai - 15:31

Lelfenoir a écrit:
Lelf, au réveil, avait été pris dans l'agitation qu'il règnait à Vannes, encore plus forte que d'habitude.
Il reçu une lettre du maire qui expliquait tous et incitait les Vannetais à défendre la ville.

Il remarqua aussi que le marché de la mairie était vide, et le marché des joueurs incroyablement pauvre en nourriture, il remarqua seulement une douzaine de miche de pain, qui disparaîtront bien assez tôt.

Il jura intérieurement quand il vit une dizaine de vêtements et autre outils, signifiant que certains artisants préférait leur enrichissement personnel à la garde et la défense de leur propre ville.

Lui même incita les gens qu'il croisa à défendre Vannes, aussi bien que dans la milice que dans la maréchaussée ou dans un groupe armé.
A partir de la fin de l'après midi, lui et son propre groupe patrouillaient dans la ville et sur les remparts.
En effet, les rangs François avaient énormement grossi pendant la nuit, il put compter plusieurs dizaines de tentes suplémentaires, la nuit sera rude, mais les Vannetais tiendront, et tiendront toujours, il en était certain.
jay64 a écrit:
Les écorcheurs, ou les fléaux de Vannes arrivèrent une fois de plus devant la belle ville de Vannes. Quelques hommes regardèrent une nouvelle fois les remparts de la vile, certain avait encore quelque marque de bataille.
La colonne reprit la direction d'un emplacement pour y établir son campement. Des éclaireurs arrivèrent pour dire qu'ils avaient trouvé un emplacement adéquate pour les écorcheurs.

Le campement fut monté durant une bonne partie de la journée. Des soldats préparaient les tentes de commandement, d'autre la tente de la taverne itinérante, et d'autre patrouiller tout autour de ladite place.

Le camps fini d'être monté, les soldats en rang au centre de celui ci, le capitaine de campagne donné ces instructions, l'ordre était donné, les soldats organisés en groupe préparèrent leur équipement, chacun aidant l'autre, les chefs de groupe indiquant un ordre précis a leurs soldats.


A l'action soldats !
Lelfenoir a écrit:
Lelf était assez nerveux, plus que jamais, les mouvements dans les rangs ennemis se faisait sentir. Il essayait néanmoins de paraitre calme et détendu, la main sur le pommeau de son épée, attendant l'attaque de l'Ost François.

Lui et son groupe ne bougeait plus, ces compagnons, eux aussi, attendait calmement, l'arme prête. Il savait qu'il pouvait compter sur eux, tous étaient courageux et prêts à se battre pour Vannes.

Les minutes s'écoulaient lentement, les François se préparait, Lelf rageait de devoir les laissaient faire, de ne rien savoir faire.
titilemagnifik a écrit:
Une nouvelle fois, Titilemagnifik se retrouva à contempler les murs de la ville de Vannes!
Une ville qu'ils avaient déjà conquise et qui ne tarderait pas à retomber sous le joug de L'OST Royal!

Titilemagnifik monta sa tente à coté de celles de ses frères d'armes puis il mangea rapidement un morceau de pain en leur compagnie.

Il commenca l'après-midi en nettoyant son armure et vérifier ses armes.

Au bout d'un moment, il fit une pause, se leva et regarda les murs de la ville.
Il espèrait y apercevoir un mouvement, une ombre, un visage.
Mais rien ne bougeait, pas un bruit non plus, juste les paroles des soldats de L'OST.


C'est à se demander s'ils nous ont vus!
Mais je suis sur qu'ils nous attendent, bien cacher!
Mais ils ne nous arreterons pas!


Il retourna à ses occupations puis enfila son armure!
Il s'équipa de ses armes et attendit.

Les ordres ne devraient pas tarder à tomber!
Tout comme la ville de Vannes!
Ce soir, cette ville sera Francoise!
Xavier_Le_Belge a écrit:
Xavier_Le_Belge se concentrait pour la bataille. Il y avait beaucoup d'agitation autour de lui. Mais comme à l'habitude, la veille d'une journée d'action, il répètait les mêmes gestes : il aiguisait son épée, et il inspectait son armure. Ensuite, il esquissait quelques mouvements d'épée tout seul afin de s'assouplir. C'était le même rituel la veille de tout combat. Xavier exécutait ensuite les ordres de son Capitaine en pensée. Il était alors prêt pour le combat. Prêt à affronter ses ennemis. Les remparts de la ville n'étaient plus aussi imposants. La motivation était au maximum et la victoire serait au rendez-vous.
samarel a écrit:
Samarel inspectait les remparts à bonne distance sur une hauteur. il était venu avec un détachement de soldats et quelques chariots contenant des trébuchets démontés. il tentait de se remémorer la disposition intérieure de la ville afin de pouvoir monter les machines à l'endroit le plus approprié.

l'engingeur vint avec un vieux volume demander ses instructions.


messire runalf. la lice est dégagée devant ces remparts et de plus ils ont déjà subit nos assauts il y a quelques jours. c'est donc là que nous frapperons.

je vous charge de monter 2 trébuchets ici meme. je vais ordonner aux soldats de creuser une tranchée de retranchement pour protéger les précieuses machines en cas de sortie inopinée de nos "camarades breizhou".


sa main lui faisait toujours souffrir mais la blessure était moins grave qu'il n'y paraissait. un emplatre cicatrisait déjà sous les linges et il pouvait encore utiliser une dague au cas ou.
Il monta sur son eich teine, son destrier et passa devant les poteaux situés devant les remparts de la ville ou les écorcheurs avaient fait empaler puis écorcher quelques paysans qui s'étaient rebellés.

l'odeur commençait déjà à etre éprouvant et un nuage de mouche vrombissait autour des carcasses. il fixa l'une d'elle, un jeune homme dont la tète pendait mollement sur son torse écorché. la peau de sa nuque était distendue à l'endroit ou la pique avait trouée dans le dos.

Les bretons étaient avertis qu'il valait mieux coopérer.
Kante a écrit:
Comme la veille, le père Kante parcourait les murailles de la ville. Mais aujourd'hui ce n'était pas l'alarme qu'il était venu donner, c'était des remerciements.

A grandes bourrades dans le dos, à grandes embrassades, il félicitait les femmes et les hommes de Vannes qui ce matin étaient vainqueurs.

Devant un petit groupe de vannetais se réchauffant à la chaleur d'un feu, il improvisa un petit discours :


Félicitations à tous, mes amis. Nous ne sommes que paysans ou artisans, mais nous avons resisté à ces grands soldats, à ces mercenaires venus détruire notre ville. Notre amour pour notre pays nous a donné cette force avec le soutien d'Aristote.

Continuons à lutter ainsi, mes enfants, et les barbares ne passeront pas.
Cuculus ! a écrit:
Au pied des remparts


Hola Vannetais!
Hola!
Mandez un édile parbleu!
Annoncez que Cavalerie Luciole, composée de belle noblesse de France
Demande bon accueil malgrés la guerre!


Un Pair du Royaume, un Comte, une Baronne et deux péoux Seigneurs de trois fiefs..Ils n'ont pas l'air de traînes épées aux regards de loups affamés.
La ville semble pas trop meurtrie par les assauts, il espére trouver ici pature pour leurs chevaux et quelques victuailles à echanger contre écus ou autres marchandises.

Et pourquoi pas adresse d'auberge permettant à Heraklius de prendre repos plus douillet..Sa maladie le ronge.
Foin des hostilités ...Ils ne representent guére une menace.
Bien sur il omettra que leur Compagnie franche écume les routes bretonne depuis le début du conflit.
Lelfenoir a écrit:
Lelf alla se reposer quelque temps après la bataille. La nouvelle victoire des Bretons l'avait rendu heureux et confiant.

Il se rappelait encore de ces chans que les François clamaient un peu partout, à n'importe quel moment. C'était à eux maintenant, de chanter victoire. Les François étaient trop optimiste, et sous-estimaient les Vannetais.

Certes, la ville avait subit des dommages, les trébuchets de l'OST avaient inévitablement faient des dégàts. Mais le courage et la fièrté de lui-même et des autres Vannetais étaient intactes, si pas renforcé gràce à l'issue de la battaille.

Lelf, après avoir quitté ces compagnons, se retira dans sa demeur pour soigner quelques petites plaies. Rien de grave. Puis se reposa, néanmoins l'arme assez prêt de lui.
Orathor a écrit:
Deux hommes endormis apparurent aux créneaux, le visage mal rasé.

_ Eh je vous reconnez vous ! Zétiez là du temps ou y avait le seigneur Turin de notre bonne ville !
_ C'est exact soldat ! Pouvons nous entrer ?
_ Bien sûr mon seigneur !


Les deux hommes disparurent des créneaux et la voie tonitruante du soldat résonna dans l'enceinte de la ville. Les portes s'ébralèrent et la petite troupe passa sous l'arche. Plusieurs hommes les attendez quelques pas plus loin. Un homme de petite taille arriva escorté de deux soldats avec un long parchemin et une plume dans l'autre. Il réajusta ses lunettes et prononça d'une voie monotone.

_ D'ou venez vous ? Pourquoi êtes vous là ? Avez quelqu'on que rela...

Le soldats qui leur avaient accordé le droit de passage descendit quatres à quatres les remparts et s'approcha du groupe.

_ Hola le douanier ! Un peu de calme ! C'est homme faisait parti de la milice, lui et ses hommes. Je me tiens garant de leurs fait.

Quand le douanier fut parti, le soldat retrouva son sourire.

_ Désolé mais ce sont les procédures. Comptant que vous nous aidiez.
_ Je souhaiterais voir le chef de la défense de la ville.
_ Je vais faire ce que je peux pour le trouver mais il est très occupé. Attendez moi là !


Le soldat disparu, à la recherche de son supérieur.
Lelfenoir a écrit:
Lelf avait encore défendu Vannes cette nuit là, mais il fut étonné de voir à quel point les François était peu nombreux. Lelf devait savoir, ces satané François auraient de nouveau levé le camp?

Il monta sur les remparts et se diriga vers la tour de guet situé le plus proche du camp François, ou plutôt de l'ancien camp François. Lelf ne distinguait plus rien, là ou une dizaine d'heure plus tôt, des dizaines de tentes grouillaient d'ennemis.

Lelf redescendit les marches des remparts, dans le but de regagner se demeur, heureux de ce départ. Mais lui et les autres soldats de Vannes continueraient à partrouiller cette nuit... jusqu'à ce que les François auraient définitivement quitté la Bretagne.
Gwezheneg a écrit:
Gwezheneg avait lui aussi participé à la defense de Vannes depuis plusieurs nuits. Les françois avaient bien essayé il y a quelques jours de faire tomber Vannes mais sans succés, les vaillants Vannetais avaient courageusement combattu pour leur liberté. Mais actuellement c'était un sentiment bizarre qui parcourait les rangs des Vannetais, la plupart des soldats françois avaient levé le camp précipitement, pourquoi? pour aller où? ici nul ne le savait même si tout le monde souhaitait que ce soit pour rentrer chez eux, hélas ce n'était surement pas pour cela que les François avaient quittés Vannes mais surement pour aller assiéger une autre cité de Bretagne. Sur ce petit moment de repit, Gwezheneg était allé donner un coup de main au pére Kante et à Lelfenoir pour nettoyer l'emplacement du camp françois, avant de reprendre inlassablement les tours de garde sur les remparts.....
Abigail a écrit:
A la fin de la journée ensoleillée, une jeune fille brune paraissant très mûre pour son âge se présenta sur les remparts, accompagnée de ses deux frères...La dernière fois qu'elle avait vu le Baron d'Arz, elle avait encore le droit de s'asseoir sur ses genoux, à Illur...Son île chérie qu'elle n'avait pas revue depuis des mois, cela lui semblait une autre vie, tant il leur était arrivé de choses, à elle et ses deux frères, Elvis et Julian...

-Nozvat, Sire!

En voyant la tête de De Tolosa, elle éclata de rire...[/i]
Orathor a écrit:
Torass et le groupe de mercenaires bivouaquaient au pied de la muraille Nord. Chaque jour, la moitiée du groupe montait au rempart et se mettait à la disposition de la ville. Le reste du groupe se reposait ou bien, allait aider les villageois. Torass quand à lui, commandait ses hommes d'une poigne de fer. Pas de place pour les fénéants.

Alors que le groupe de mercenaire en faction, venait d'être relayé, un milicien arriva du haut de son destrier.


_ Mon seigneur, les François sont partis ! Le père Kante cherche des volontaires pour finir de détruire le camp.
_ Je suis à la disposition de Vannes, soldat, alors j'irais.


Le soldat acquieça et fit claquer les rennes. Le cheval continua sa course effrénnée dans le coeur de la ville. Torass se tourna vers ses hommes. Ils étaient érintés, après avoir vaillé toute la nuit.

_ Je suis désolé messieurs mais ce n'est pas fini. Prenaient des haches et laissaient vos armes. En scelle !

Les soldats acquieçèrent, sachant pertinement qu'ils ne pourraient se dérobber à cette tache. La troupe à cheval sortit au galop en direction du camp ennemi.
roxadana a écrit:
Dans le ciel de Vannes, une chouette blanche comme la neige évoluait, cherchant un endroit où se poser...Elle trouva son destinataire, qu'elle connaissait bien, maintenant....

"
Citation :
Mon cher Ysgarran,

Comme le temps me semble long, loin de vous, comme je me languis de votre voix, de votre sourire...
J'ai reçu des nouvelles de mes chers enfants, qui apparemment sont rentrés à Vannes et vous ont croisé. Ils ne semblent pas au courant que leur père a été grièvement blessé lors d'un brigandage, inutile de les inquiéter avec cela, ils l'apprendront bien assez tôt. Cela me semble hier, le jour où j'ai accouché de ces magnifiques bébés, sur le front de la guerre, entre Felger et Avranches...Et les voilà presque des adultes, maintenant! Et la guerre, elle, est revenue...Maudits françois, ils ne nous laisseront donc jamais en paix...Ces pauvres soldats n'ont même pas conscience qu'ils sont envoyés à la boucherie par la Pairie, par leur roitelet!
Malgré cela, mes pensées ne cessent de revenir vers vous, j'ai hâte de pouvoir enfin trouver la chaleur de vos bras, et la douceur de vos mains...N'ayez crainte pour votre liberté, nul besoin de mariage pour voir l'union des corps et des âmes...
Sur ces tendres et brûlantes pensées, je vous laisse pour retourner à mes insipides obligations,

Roxadana, votre fidèle"
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Isaïyl




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MessageSujet: Re: La bataille de Vannes   La bataille de Vannes EmptyMer 16 Mai - 15:32

Skolvan a écrit:
Skolvan avait accéleré son allure et quitté le camp à l'abandon. Mais il restait absorbé et marqué par le spectacle qu'il avait eu sous les yeux .
Soudain une ombre gigantesque le surpris , il leva les yeux et se trouva surpris par l'imposante masse des remparts de la Vannes .
Les traits tirés de son visage trouvèrent alors la force d'afficher un grand sourire , il se redressa fièrement sur sa monture et s'approcha des portes de la ville . Des soldats patrouillaient sur les remparts . Ils avaient l'air à l'affut .
De Tolosa a écrit:
Alors que la nuit tombait, une ombre se faufillait entre le camps français et les Remparts de Vannes. Arrivée devant la porte l'homme appela la Garde:

A moi Vannes, je suis Ysgarran De Tolosa, laissez moi entrer !!!

Le garde en faction n'en cru pas un mot:

Vil Français, ta ruse est mediocre, le Baron est dans nos murs, fuit avant que je ne donne l'alerte et qu'on t'embroche comme un poulet.

L'homme répondit:

Yannick, triple buse, c'est moi De Tolosa, dois je escalader ces mur pour te remettre une danse comme il y a 4 mois quand je t'ai virer de ma teverne alors que tu étais saoul comme un Champennois?

A ces mots, le garde fut tout surpris, comment l'homme pouvait il savoir ça? Il envoyat un de ses collègues de faction chercher le Baron d'Arz dans la cité. Celui çi arriva prestement, tout armurer et casquer et se penchant par dessus le rempart pour interpeller l'homme.

Qui va là?

C'est moi Padrig

Comment en être sur?

C'est simple, si tu ne me fait pas rentrer, je dresserai Patxok à t'empècher de pénètrer à nouveau au chateau.

Admettons que ce soit bien vous Baron, quel est le mot de passe?

Yannick le garde est interloqué, voila que maintenant il y a 2 barons.

Arzao hag Arzam dit l'homme.

Et là le Baron d'Arz releva la visière de son heaume revellant son visage:

Yannick, ouvre que le Baron puisse entrer!!

Oh ben ça alors, t'ety po l'Baron d'Arz mais c'bon vieux Padrig !!!

Ouvre triple buse le baron veut entrer.

Quelque minutes plus tard, DT etait dans la place, à la stupeur générale, le baron que tout le monde voyait depuis des semaines s'averra n'être que Padrig le serviteur de DT. Celui çi lui fit un rapport de la situatio, et des demandes de rencontre emises par Kante le curé, auquelle il n'avait pas répondu de peur d'être perçé à jour par le religieux qui connaissait bien DT. Padrig remis aussi à DT les lettres de Roxadana. Aux incrédules et aux curieux qui demandait la raison d'une telle supercherie, DT, le vrai répondait, que même lui ne pouvait être à 2 endroits en même temps et qu'il avait du avoir recours à cette supercherie pour masquer son absence de Bretagne le temps d'aller à Paris avec la Grade Grand Ducale, participer à la libération du Grand Duc Gomoz Ier. Mais que comme il ne pouvait pas non plus abandonner Vannes, Padrig avait jouer son role ici, ainsi n'était il pas vraiment absent.
De Tolosa a écrit:
Apprenant la présence non loin de seigneur Fraçois de prestige, DT une fois sa personne reconnu, leur fit porter un message et quelques victuailles:

Citation :
Seigneur Cuculus, Pair Héraklius,

Sachez que nous avons bien reçu votre demande, mais vous comprendrez que nous ne puisssions y accéder, étant en état de guerre pour le moment avec vos indélicats alliés du Lyonnais.
Néanmoins, conformément aux règles et devoirs de la Chevalerie, recevez ces quelques miches de pains et ces gourdes, en respect de l'hospitalité que tout seigneur doit à un autre seigneur selon les règles de la Chevalerie.
Néanmoins, je vous serez gré de ne plus brigander en nos terres de Bretagne sans quoi, devoir d'hospitalité ou pas, c'est au fil de l'épée que vous recevriez notre prochain don d'hospitalité, ce qui ne manquerait pas de nous procurer une joie certaine, bien qu'un plaisir plus modéré que de trucider Juju et le penible chagrin d'eradiquer un Français aillant du respect pour notre Sainte Nathan, Patronne de la Bretagne.
Au plaisir de vous rencontrer en des circonstances moins désavantageuses pour vous.

Ysgarran De Tolosa,
Baron d'Arz.
La bataille de Vannes Detolosarougeto8
Gwezheneg a écrit:
L'etreinte françoise semblait s'être relachée sur Vannes, mais Il y avait toujours un bon nombre de Vannetais qui jour et nuit montaient la garde sur les remparts. Chacuns ce demandant quand la guerre prendrait fin, est ce quand ce moment c'était a Vannes le calme avant la tempête?, la fatigue cumulée des gardes et des combats passés embrouillaient un peu l'esprit des defenseurs de Vannes, mais le moral était toujours bon. En cette belle nuit, le moral eu-même un joli regain de santé lors de l'arrivée surprise du Baron d'Arz. Une scéne qui fît bien rire tout le monde sauf peut-être notre ami Yannick. En tous cas le Baron d'Arz et son palfrenier Padrig avaient bien bernés tout le village, mais c'était pour une cause des plus importantes. Souriant en regardant le Baron, Gwezheneg se parlant a lui même : Tout a fais son style de manoeuvre si j'en juge par tout ce que mon cousin a pu m'ecrire sur lui.
Puis ce levant tout a coup, brandissant son épée, Gwezheneg a l'encontre du Baron, lui parla d'un voix forte mais amical.

Bienvenu a Vannes, Baron d' Arz!, bienvenu chez vous! et parmis nous!!

Tout les Vannetais presents en firent autant reprennant les mêmes mots que Gwezheneg pour acceuillir chaleureusement le Baron d'Arz.
Skolvan a écrit:
Skolvan s'approcha des herses de la ville et appella les vigiles en faction :

Hola Gens de Vannes , je souhaiterai pouvoir entrer , je suis en possession d'un laissez passer de messire le prévot Miyamoto.


Manifestement les vigiles avaient l'air fort occuppés à accueillir l'un des leurs. Skolvan patienta devant les grilles
Orathor a écrit:
Torass et le petit groupe de mercenaires, avaient fini de détruire les vestiges du camp François. Ils stoppèrent leur monture près de l'étranger.

- Demat l'ami ! Comment te nommes tu ?

Attendant la réponse de l'étranger, il releva la tête vers les créneaux.

- Ouvrez nous !

Quelques instants plus tard, les portes s'ouvrirent et le petit groupe passa les portes de la ville. Torass ordonna à ses hommes de rejoindre le camp et se retourna vers l'étranger.

- Sollicite une entrevue avec le seigneur De Tolosa. C'est qui est le chef de la défense de la ville.
Skolvan a écrit:
Skolvan venait à peine d'interpeller les hommes d'armes qui veillaient sur les remparts lorsqu'une troupe apparut et se présenta également aux portes de la ville. L'un d'eux qui paraissait leur chef l'aborda:

- Demat l'ami ! Comment te nommes tu ?


Ne lui laissant pas le temps de répondre il demanda qu'on lui ouvre les grilles, ce qui fut fait sur l'instant .Une partie de la troupe pénétra dans l'enceinte , Le chef se retourna alors vers Skolvan et lui parla du seigneur de Tolosa

Skolvan sourit en entendant prononcer ce nom qu'il connaissait déjà:

Je me nomme Skolvan, Le seigneur de Tolosa , dis tu ....C'est donc lui le défenseur de la ville ? tant mieux et où puis je le trouver ? dis moi un peu .
Il ne s'agit pas de solliciter une entrevue mais bien de le rencontrer au plus vite , je ne tiens pas à passer encore plusieurs nuits à poireauter devant les remparts tel un porcelet sauvage.

Mon voyage a été rude et il me tarde de trouver le gite et le couvert . Sans compter que je dois rallier au plus vite le bureau de recrutement de l'armée bretonne .
Je t'en prie , permets que je ne perde pas mon temps , je te serai obligé de bien vouloir me conduire à lui sur le champs si tes obligations te le permettent bien entendu. Sinon je te saurai gré de bien vouloir me trouver quelqu'un qui me conduira à lui.


Sur ces paroles , Skolvan éperonna son cheval et s'engouffra à la suite des soldats dans l'enceinte de la ville
Orathor a écrit:
Torass suivit Skolvan. Il alla droit au but.

- Je me nomme Torass. Le seigneur vient de rentrer hier soir, tard dans la nuit, essayons de la trouver.

Torass s'avança vers un groupe de soldat qui affutaient leurs armes.

- Auriez-vous vu le seigneur De Tolosa ?

Le soldat lui indiqua les remparts. Les deux hommes trottèrent jusqu'au chemin de rondes et mirent pied à terre, avant de monter aux remparts. Ils s'avançèrent parmi les soldats en faction et se stoppèrent près d'un groupe de soldat. L'elfe Noir et le seigneur De Tolosa était en pleine conversation.

- Mon seigneur, cet homme souhaite s'entretenir avec vous !
Skolvan a écrit:
Le chef du groupe avait suivi Skolvan et avait finalement consenti à se présenter à son tour .
Après avoir laissé leurs montures au bas des remparts , Torass accompagna Skolvan sur le chemin de ronde où ils rejoignirent un groupe en grande conversation.


- Mon seigneur, cet homme souhaite s'entretenir avec vous !

Skolvan haussa les épaules en voyant la désinvolture avec laquelle Torass interrompait la conversation d 'un seigneur. Lui même n'avait pas été habitué à de telles façon .Peu importe , ce n'était pas son problème ni le moment de s'attarder à ce genre de futilités . L'heure n'était sans doute pas aux politesses .
Néanmoins , Skolvan, lui, s'inclina devant le Baron, salut qu'il assortit d'un regard franc et droit plongé dans le sien. Puis il attendit stoïque que le seigneur des lieux veuille bien lui adresser la parole .
Interieurement il était très impressionné et si heureux de se trouver enfin en ces lieux qu'il désesperait de connaitre un jour . La fougue de la jeunesse lui aurait bien fait sauter au cou du baron et de tous les vannettais présents mais il se devait maintenant de mesurer son comportement , bref , de se comporter en adulte s'il voulait se montrer digne de l'hermine .
De Tolosa a écrit:
De Tolosa se retourna et vit Torass et Skolvan:

Hola jeune homme redresse toi, nous sommes des Vannetais, ici tout le monde est l'egal de son voisin.

Torass glisse un mot à l'oreille de DT, qui appui son regard sur Skolvan. La main posé sur l'épée sainte dont il a la garde:

Ainsi tu souhaites me voir, je suis là, que puis je faire pour toi?
Orathor a écrit:
Torass échangea quelques murmures avec le seigneur et laissa les deux hommes s'entretenirent. Ils attendraient qu'ils aient fini le conversation pour s'occuper du nouveau venu.
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Isaïyl




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MessageSujet: Re: La bataille de Vannes   La bataille de Vannes EmptyMer 16 Mai - 15:38

Skolvan a écrit:
Skolvan se redresse donc sur l'invite du baron :

Mon seigneur , je serai fort aise d'être considéré ainsi que votre égal , malheureusement il semble y avoir un problème de taille ....
Skolvan sourit ..
Je ne suis point encore vannetais puisqu'on ne me laisse pas pénétrer, à juste titre sans doute , les murailles de la ville .

le Baron ayant la main posé sur son épée , Skolvan cesse de faire le fanfaron , le moment est surement mal choisi et le Baron aurait vite fait de lui trancher la tête si le moindre soupçon s'éveillait en lui ...


Cela étant dit, je ne souhaite pas particulièrement vous entretenir, je n'aurai pas cette audace , mon seigneur , je sollicite simplement votre permission de m'installer en cette noble cité si chère à mon coeur puisqu'il semble que ce soit vous le détenteur des clefs qui m'ouvriront ces portes que je souhaite si ardemment franchir.
Lelfenoir a écrit:
Lelf s'était longuement reposé, mais il se sentait toujours fatigué. Il avait préparé son sac pour aller défendre Rennes, avec quelques soldats.

En cherchant ces compagnons, il croisa Skolvan, en discussion avec De_tolosa et Torass.


Demat! Content de te revoir en ville Torass, il n'y a jamais trop de défenseur en ces temps-çi.

Il se tourna vers les 2 autres hommes.

Demat Skolvan, comment va-tu? Je crois que ce François n'est pas un François comme les autres De_tolosa Laughing :wink: Un Breton de nature :wink: Vous pouvez surement lui faire confiance.
De Tolosa a écrit:
DT fut surpris par les propos de Skolvan, il le regarda dans les yeux et lui tint ces propos:

Mon Jeune ami, je ne suis aps le maitre ici, je ne détient pas les clés de la Ville, je la defend tout simplement comme tous ici, et si mon nom et ma personne sont connu, de part mes actions pour la citée et pour le Duché, je ne suis rien de plus ici qu'un citoyen défendant son village contre l'oppression.

Montrant Arz qu'on devine dans le clair de lune milieu de la baie,

Mon fief est la bas vois tu? cette belle ile qui trone sur la baie, ç'est la ma demeure et mes terres. Ici je ne suis qu'un citoyen, à ce titre je ne peux t'auoriser à t'installer ici, mais je t'accueillir ici chaleuresement une fois que notre maire Micha t'aura autorisé à t'installer parmi nous. En attendant si tu le souhaites je peux t'héberger en mon auberge.
De Tolosa a écrit:
Elfenoir, je te vois la baluchon à l'épaule, nous quitterais tu?
Lelfenoir a écrit:
- En effet, je m'en vais défendre notre capitale, auprès de mes compagnons de l'armée Bretonne, moi et mon groupe partons le plus vite possible, les troupes ont besoin de renfort parait-il.

J'éspère que Vannes n'aura pas de problème avant longtemps, j'enragerais d'être bloqué à Rennes pendant que vous défendez la ville.
Orathor a écrit:
Torass alua Lelfe d'un hochement de tête. La discussion s'en suivit. Il semblait que Lelfe, allé partir dans les plus brefs délais, avec son escouade, afin de défendre Rennes.

- N'aie crainte, nous veillerons au grain ! Je ne quitterais pas ces murailles, avant que le dernier François, ayant des intentions hostiles, n'ait fui devant la bravoure des Bretons ! Je vous en fairt le serment.

Se tournant vers le seigneur De Tolosa.

- Souhaitez que je conduises notre nouvel arrivant à votre auberge, si bien sur, il le veut ?
Skolvan a écrit:
Skolvan prit un air étonné aux propos du Baron

ma foi Baron , vous me voyez surpris . Comme je vous l'ai dis , je n'ai rien sollicité du tout , c'est le sieur Torass qui m'a prié instamment de venir demander votre permission alors que j'attendais aux portes de la ville et demandais à ce que l'on m'ouvris les portes .Je vais donc aller rencontrer le Maire de ce pas

Puis il tourna son regard dans la direction que lui montrait le Baron
ses yeux se perdirent dans cette vision qu'il attendait depuis si longtemps . là du haut des remparts , il voyait le golfe s'étendre à perte de vue , l'le d'Arz majestueuse , accompagnée de sa ribambelle de petites soeurs ça et là.


C'est magnifique , Baron , j'espère avoir l'occasion d'aller vous rencontrer là bas un jour quand vous me le permettrez bien sur.

Puis se retournant de nouveau vers lui
je vous remercie de votre offre concernant votre auberge , j'irai avec plaisir car je suis fourbu . Si vos gens daignent m'ouvrir ces herses , je vais donc me retirer ,Baron de Tolosa en vous remerciant de votre accueil.

Il s'inclina et attendit que Torass veuille bien l'accompagner . Skolvan se disait que Vannes avait bien eu de la chance de ne pas être prise par les satanés françois , les gens de Vannes n'étaient vraiment pas méfiants avec les étrangers comme lui qui se présentaient aux portes .
Enfin , c'est pas lui qui allait s'en plaindre .
tono59 a écrit:
TONO qui accompagnait LELFE salua tout le monde et se tourna vers LELFE

Bon tu te dépêches, on va louper le début

LELFE, TONO et leurs deux compagnons s'éloignerent de VANNES
roxadana a écrit:
Un cavalier arriva au galop à l'entrée de Vannes...Soulevant légèrement la capuche de sa cape de voyage pour se faire reconnaître, tous les gardes le laissèrent passer sans encombre et reprendre sa course jusqu'à la grande place de Vannes...Devant le Penn Kalet Britton Pub, le cavalier laissa son cheval, et prit la direction des remparts, où il semblait y avoir du monde...
Arrivé devant l'attroupement de soldats, en haut des remparts, le cavalier se découvrit la tête..Une abondante chevelure brune reprit alors sa liberté au vent...
Retirant ses gants, Rox se dirigea vers les recrues médusées de voir leur Lieutenant débarquer de Rennes...Devant sa démarche assurée, presque féline, plusieurs paysans se rangèrent le plus loin possible...Elle était venue là pour une inspection et une mise au point sur les consignes, mais elle oublia un instant sa mission au milieu du chemin de ronde: Il se tenait de dos devant elle, à quelques mètres de là, parlant avec un jeune homme...Elle ne l'avait pas vu depuis des mois, mais fut heureuse de constater qu'il n'avait rien perdu de son charisme ni de sa prestance...Elle s'arrêta et attendit en souriant qu'il se rende compte de sa présence...
Gwezheneg a écrit:
Gwezheneg un peu a l'ecart de l'atroupement, péparait tranquillement ses affaires, rassemblant ses maigres provisions quand un homme, un dénomé Skolvan avait-il compris, ce presenta aux portes muni d'une autorisation. Gwezheneg fût un peu surpris que l'on laisse rentrer cet homme si facilement a l'intérieur de la ville mais aprés tout il était seul et ne pourrait pas faire grand mal. En tous cas il n'avait pas froid aux yeux en demandant prestement une rencontre avec le Baron De Tolosa. Quelques instant plus tard, un cavalier ou plutôt une cavaliére arriva a grand galop, c'été la dame d'Illur. Decidement ce dit Gwezheneg que de beau monde a Vannes aujourd'hui, ça met un peu d'animation au moins.
Puis il replongea dans ses occupations, mettant son bouclier dans le dos et son épée dans le fourreau, il rejoigna Lelfe et Tono pour prendre la route vers Roazhon.
Lelfenoir a écrit:
Le départ des soldats de Vannes avaient été retardé de quelque heure suite à des problèmes de ravitaillement et d'organisation, mais Lelf et ses 3 compagnons étaient maintenant prêt, sac sur le dos et épée à la ceinture.

Lelf avait ravittaillé en viande les soldats et ils s'engagèrent sur la route quittant Vannes. Ils croisèrent à sa grande surprise leur Lieutenant, Roxana, arrivant au galop en ville. Ils échangèrent quelque mot puis le groupe passa la porte est de la ville, en direction de Rieux.

Lelf parla un moment aux gardes puis il quitta sa ville, en espèrant qu'elle n'aie pas de problème...
tono59 a écrit:
Une Deux
Une Deux
Une De...
Skolvan a écrit:
Skolvan s'apprétait à suivre Torass pour rejoindre l'auberge lorsque se présenta sur les remparts une femme sûr d'elle et très élégante malgré sa tenue de cavalier . Skolvan reconnut l'officier de l'armée qui l'avait reçu au bureau de recrutement .

Manifestement elle venait rencontrer le Baron et attendait qu'il l'aperçoive . Skolvan s'approcha d'elle en souriant :
Demat Dame Roxadanna, ravi de vous revoir

Skolvan lui prit la main qu'elle lui tendit et s'inclina les yeux rivés sur son visage. Puis il s'approcha plus près et lui dit:
Vous ne m'avez pas laissé le temps d 'aller vous cueillir le muguet promis....

Il sourit encore , l'oeil malicieux, impertinent et ajoute :
Le Baron est fort occuppé , vous allez devoir patienter je le crains ....
Je vous salue donc car je dois y aller , Dame Roxadanna , je vais rejoindre l'auberge en attendant avec impatience de vous revoir .......pour mon engagement


Puis Skolvan se dirige vers les escaliers pour rejoindre sa monture
Orathor a écrit:
Torass salua la dame et suivit Skolvan vers l'escalier.
De Tolosa a écrit:
Entendant prononcé le nom de Roxadana, Baronne de Chateaubriand et Dame d'Illur, DT cessa immédiatement toute conversation et se retourna d'un bond. Il n'en cru pas ses yeux, là devant lui se tenait l'être qui était pour lui le plus cher au monde. A seulement quelques centimètres de lui aprés des mois de séparations se tenait fièrement l'être aimé. Il en restait bouche bée, n'en croyant pas ses yeux, pensant à une farce d'un korrigan, ne sachant quoi dire.

Il repris ses esprits plus ou moins, salua d'une révérence et dit:


- Mes hommages du soir Baronne, que nous vaut le plaisir de votre visite en cette heure tardive? l'air de la mer vous aurait il manqué ou seriez vous l'avant garde de l'armée Bretonne qui vient reprendre Vannes?

DT pris bien soin de ne pas regarder Roxadana dans les yeux pour ne pas se trahir. Même s'il ne voulait pas être désagréable avec elle, il n'avait toujours pas diggèrer que l'armée et le Duché refuse de rappatrier le regiment des Dragons pour defendre Vannes lorsqu'on su que l'attause était imminente.
roxadana a écrit:
Devant l'attitude insolente du petit Lyonnais, elle eut pour premier mouvement de le faire envoyer aux fers, puis elle se ravisa, elle n'était pas d'humeur à cela, et elle aurait probablement maintes occasions de le mater si jamais il rejoignait les Dragons...Elle le laissa aller sans un mot, lui accordant seulement un hochement de tête...

Puis elle éclata de rire, totalement surprise par la réaction de De Tolosa...Elle ne s'attendait certes pas à de grandes effusions, tous deux avaient passé l'âge de ces gamineries, mais elle n'aurait pas cru être accueillie de façon aussi..militaire!


-Reprendre Vannes? Mais vous semblez vous débrouiller parfaitement sans moi, mon cher!

Elle s'approcha de lui et passa son bras sous le sien, conservant tant bien que mal une attitude sereine et détachée alors que son coeur battait la chamade...

-Allons, emmenez-moi voir la mer...qui m'a beaucoup manquée, en effet...Elle aussi...Je suis ici pour les Dragons, mais cela peut attendre demain, il est tard...Les remparts tiendront bien tous seuls quelques minutes...
De Tolosa a écrit:
DT Un peu confus,

- Bon Torass, tu t'occupe de surveiller tout ça, ... tu fais comme d'habitude quoi !!! ... Dame Roxadana et moi avons a parler de ... stratégie ... et de vassalité ... des problèmes qui occupe la cour d'Hermine et avec lesquels nous ne saurions vous ennuyer.

Se tournant vers Roxadana,

-Allons y ma douce amie... ça vous direz d'aller vous reposer au chateau d'Arz cette nuit? certe il ya la traversée mais là bas personne ne vous importunera.
roxadana a écrit:
Craignant de se mettre à rougir comme une jeune fille devant ses soldats, Rox fit court:

-Avec plaisir, Ysgarran...Je vous suis...
De Tolosa a écrit:
Les deux nobles s'eloignent vers le port dans la clarté blafarde de la pleine lune.

[HRP]Suite sur "Pendant ce temps à Illur...." [/HRP]
Skolvan a écrit:
Skolvan s'engageait dans les escaliers suivit de Torass lorsque le Baron et Dame Roxadana s'en allèrent également .
Skolvan s'écarta pour les laisser passer , ne pouvant détacher son regard de la dame .

Dès qu'ils se furenté éloignés , Skolvan s'adressa à Torass :


C'est bon, nous pouvons y aller . Montre moi donc cette auberge dont m'a parlé le Baron , j'ai hâte de m'y rendre et d'y prendre une chambre .
Mais auparavant je dois passer à la mairie . Je te propose de m'indiquer la route , je te rejoindrai une fois mes formalités accomplies afin de partager un verre avec toi . Si tu le veux bien entendu
Orathor a écrit:
Torass inclina la tête, en signe de respect, alors que les deux nobles passaient leur chemin. Pied à l'étrier, il se hissa sur sa monture et se tourna vers Skolvan.

- Je te suis l'ami ! En ces temps troubles, les rues ne sont pas sûr pour un étranger ... Espérons qu'ils y mettent fin !

Il claqua les rênes de sa monture et les chevaux partirent aux trot vers la Mairie.

- La Maire se prénomme Micha, pour ton information.
Skolvan a écrit:
Skolvan enfourcha Falaise qui avait patienté près des autres destriers au bas des remparts .
Torass invita Skolvan à le suivre à travers le dédale des rues de Vannes .
Petit à petit , la tension que Skolvan ressentait en son fort intérieur se relachait .

Ca y était ...il était à Vannes ...dans Vannes .

Malgré la fatigue , il se sentait rempli de vigueur , d'allant et d'envie . Il aurait bien dévoré un boeuf entier à l 'auberge s'il en avait eu les moyens se dit il en riant tout seul, fièrement dressé sur sa monture .
Tout en se portant à la hauteur de Torass , il engagea la conversation :


Micha dis tu ? très bien , allons donc à la mairie , mais je ne t'oblige pas à venir ...quoique ta compagnie me soit sympathique ...je l'avoue ...ça fait bien longtemps que je n'ai pas eu de conversation digne de ce nom ....
je suppose que tu es vannetais ? tu fais quoi dans la vie quand il n'y a pas la guerre en Bretagne ? ta famille est ici ? y a t il un port à Vannes , je rêve d'aller naviguer, moi ...
Et le Baron , son île tu la connais ? Et Dame Roxadanna .....elle vient souvent ici à Vannes ?


Skolvan se lachait enfin , les dangers du voyage écartés , la pression et l'angoisse de l'inconnu , la peur de ne pas pouvoir entrer à Vannes , la nécessité de faire bonne figure avaient fondues comme neige au soleil ....
Il redevenait petit à petit le fringant adolescent , à peine sorti de l'enfance , émerveillé de tout ce qui se présentait à ses yeux et avide de découvertes .

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